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La Baule | Jumping 2019 Grand Prix Ville de La Baule

Seuls 8 couples sur les 45 au départ du Grand Prix Longines de la Ville de La Baule ont réussi à boucler sans faute et dans le temps le parcours dessiné par Frédéric Cottier : Eduardo Menezes (BRA)/H5 Quintol, Olivier Robert (FRA)/Vangog du Mas Grenier, Doron Kuipers (NED)/Charley, Amy Inglis (GBR)/Wishes, Grégory Wathelet (BEL)/Iron Man Van de Padernborre, Steve Guerdat (SUI)/Albfuehren’s Bianca, Simone Blum (GER)/DSP Alice et Darragh Kenny (IRL)/Important de Muze. Ces huit-là se sont donc retrouvés au barrage, exercice difficile qui demande d’allier vitesse et précision.

Avec 2 fautes aux obstacles, Eduardo Menezes et H5 Quintol ont dit adieu à leur rêve de victoire. Olivier Robert et Vangog du Mas Grenier ont commis une faute, tout comme Doron Kuipers et Charley, ainsi que Gregory Wathelet et Iron Man Van de Padenborre. Pour eux aussi, fini l’espoir d’inscrire leur nom au palmarès du Grand Prix Longines de la Ville de La Baule.

Amy Inglis a été la première à obtenir le double sans-faute avec Wishes en 48,84 secondes (pour un temps accordé de 50 secondes). Mais le n°1 mondial Steve Guerdat, associé à sa fidèle Albfuehren’s Bianca, a lui aussi réussi le sans-faute en étant plus rapide (43,82 secondes). Restaient à passer Darragh Kenny et Important de Muze et Simone Blum et DSP Alice. Les premiers ont réussi le sans-faute en 43,90 secondes, les secondes, championnes du monde en titre, ont également fait un sans-faute mais ont été les plus rapides en 43,33 secondes.

Le couple champion du monde en titre, Simone Blum (GER) et DSP Alice s’imposent donc dans le Grand Prix Longines de la Ville de La Baule, devant Steve Guerdat (SUI) et Albfuehren’s Bianca. Darragh Kenny (IRL) et Important de Muze sont 3e. Meilleurs Français, Olivier Robert et Vangog du Mas Grenier sont 6e. La dernière victoire féminine dans le Grand Prix de la Ville de La Baule remonte à 2002 avec Angélique Hoorn (NED) et Hascal.

images HD ©Grand Prix La Baule – 19 Mai 2019


La Baule procure de la joie aux vacanciers, c’est « l’effet La Baule ». Après la première guerre mondiale la Baule-Escoublac connaît un afflux considérable de touristes anglo-saxons, qui adorent La Baule.

Le phénomène touristique à La Baule s’amplifie et on construit des équipements sportifs de qualité : tennis, équitation, tir aux pigeons, golf… c’est la vie à La Baule, chic et select avec une plage de La Baule splendide et une Baie de La Baule magnifique.

Apres le seconde guerre à La Baule, les grandes villas du remblai de La Baule sont remplacées progressivement par des immeubles qui donnent la possibilité à La Baule au plus grand nombre de bénéficier de la mer à La Baule, tandis que le phénomène de tourisme social fait son apparition à La Baule : camping à La Baule, maisons familiales à La Baule et colonies de vacances à La Baule .

C’est vers l’international que se tourne La Baule en ayant été labellisée « zone touristique internationale » (ZTI) et en ayant été admise dans le club des plus belles baies du monde, car La Baule est magnifique.

La Baule est respectueuse de l’environnement et active pour son développement durable, par la protection de la pinède emblématique de La Baule aux allées ombragées, la conservation des villas balnéaires de La Baule aux architectures éclectiques, la sauvegarde de la forêt communale de La Baule multi-centenaire et la préservation de la plage de La Baule , y compris en dernier lieu par des procédés écologiques innovants.